Category: CM1 et CM2
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Une histoire inventée par les CM1-CM2
1
Le Cadeau de papa
Allongé sur son lit, sa veilleuse allumée, Timéo dévore le livre que papa lui a offert. C’est un ouvrage très ancien. De temps en temps, le petit garçon y fourre son nez pour savourer l’odeur de vieux cuir.
– À ton tour de posséder ce livre ! a murmuré papa en le lui tendant : Le secret des mots d’amour. Il a été écrit voici bien longtemps par le troubadour Gilbert de Treblig.
On y apprend comment écrire un poème d’amour véritable.
C’est un livre très très rare. Prends-en grand soin !
Timéo connaît les pouvoirs de ce livre. Grâce à lui, papa a déclaré son amour à maman, et papi à mamie, et grand-papi à grand-mamie… Timéo en aura besoin pour
faire comprendre à Juliette ce qu’il ressent pour elle.
Sur la troisième page de l’objet très très rare, papa a inscrit de sa plus belle plume :
Mon cher Timéo,
Reçois en cadeau d’anniversaire
ce livre qui j’espère
te transportera dans le monde merveilleux des mots
d’amour !
Ton papa
Jusqu’ici, personne n’avait osé écrire sur le livre très très rare. Mais papa est comme ça, il ne peut pas s’empêcher d’écrire des petits mots partout.
Dès les premières lignes, Timéo a plongé dans le texte : Gilbert le troubadour y dévoile, page après page, le secret des mots d’amour. Ces mots que l’on trouve au plus profond de soi lorsqu’on les cherche passionnément. Enthousiasmé, le petit garçon mesure ce qu’il lui reste à lire :
– J’en suis à la page 18, et il y en a 458. Il m’en reste donc 440 !
Timéo sait qu’il a encore beaucoup à apprendre, mais il sait aussi qu’en refermant le livre, il écrira un poème sincère pour Juliette. Ligne après ligne, l’image de Juliette
accompagne sa lecture, penchée sur son épaule avec un sourire très doux, et Timéo déguste chaque phrase, lentement, très lentement.
Au point qu’il s’endort, le nez sur la page 19.
2
La fuite
Une sensation étrange réveille Timéo : comme si une fourmi se promenait sur sa joue. Il remue la tête, quelque chose tombe sur son oreiller. Quelque chose de noir, de tout petit. C’est un « m ». Un « m » minuscule.
Lorsque l’enfant pose le livre sur sa table de nuit, trois caractères dégringolent sur la moquette : un « e », un « u » et un « G » majuscule.
D’autres caractères, peut-être une douzaine, se sont déposés sur le drap durant la nuit. Il y a même un point et deux virgules.
– On dirait que mon livre fuit… constate Timéo, incrédule.
Prudemment, il feuillette l’ouvrage jusqu’à la page 19. Rien de particulier. Les paragraphes dorment sagement alignés, avec leurs majuscules, leurs points et leurs virgules. Timéo tourne les pages une par une, puis deux par deux, jusqu’à la dernière, la 458, où le texte s’interrompt comme un pont tendu sur le vide.
– Pas de doute, mon livre fuit, gémit le garçon. Il faut absolument faire quelque chose !
Pour parer à l’urgence, Timéo place le livre au bord de la table de nuit, avec un bol en dessous pour recueillir les lettres. Puis il court au bureau, et il cherche dans le petit calepin de maman, celui où elle note tous les numéros-extrêmement- utiles : – Marchand de mie de pain… Réparateur de cravates… Fourchetterie… Chemiserie… Pantalonnerie… Ah ! Voilà ce qu’il me faut : clinique des livres malades !
Fébrilement, Timéo compose le numéro de la clinique.
3
L’échec
« 06 # 92 218. »
Timéo entend une voix grave qui lui dit :
« Allo ? Ici la Clinique des livres malades !
– C’est pour une urgence ! dit Timéo, mon livre fuit !
– Ah ! Quelle histoire ! Venez vite à la Clinique, 19, rue des Manuscrits. Vous verrez au-dessus de l’entrée un immense livre avec, écrit dessus, Clinique des livres malades. Mais arrivez très vite, c’est très grave !!!
– OK je monte dans ma Lamborghini volante !! »
Peu de temps après, Timéo arrive sur le parking, et il ne voit que des voitures de luxe devant la Clinique. Il sort de sa voiture le coffre-fort où se trouve le livre qui a un bouchon à la page 458.
Puis Timéo entre dans la clinique en courant. En poussant la porte, il sent une odeur de vieux cuir, puis il voit des galeries remplies d’étagères fermées et des boîtes en fer où se trouvent des livres très contagieux, comme lui explique le robot-médecin nommé Docteur Vreli * qui l’accueille.
« Suivez-moi ! » lui dit-il.
Timéo arrive devant un « ascenseur – express » où il voit le Docteur taper un code en posant l’index, pour prendre son empreinte digitale.
Ils entrent dans l’ascenseur qui descend dans une base sous-marine où l’on voit plein de sous-marins, ainsi que des centaines de poissons tout autour d’eux.
Ils montent alors dans l’un des sous-marins pour aller récupérer un calamar qui servira à soigner le livre de Timéo.
Puis, une fois revenu dans la chambre, l’infirmier, Monsieur Bibliothèque, prend une seringue et, après avoir endormi le livre avec un masque à vapeur, injecte l’encre du calamar dans la page 458 à travers le bouchon en liège. Mais rien ne se passe…
*vreli = livre en changeant les syllabes de place.
4
La guérison de l’Amour
Timéo, très triste, dit :
« Ah ! Ça n’a pas marché, mais pourquoi ?
-Mais c’est parce que c’est « la maladie de l’Amour qui fuit » ! dit l’infirmier.
Docteur Vreli leur dit :
« Pour guérir de cette maladie, il faudrait plutôt aller pêcher le calamar d’Amour, extrêmement rare, qui se trouve dans la cascade d’Amour, à Paris, et qui appartient à l’arrière-arrière-petit-fils du Troubadour qui a écrit ce livre !
-Oh ! Je ne pensais pas que ce serait aussi difficile de le guérir ! Mais ça vaut le coup d’essayer ! Vous êtes sûr que ça va marcher ? »
Timéo et le Docteur Vreli sortent de l’hôpital et montent dans une voiture à remonter le temps qui se trouve sur le parking.
Ils remontent alors le temps, une journée avant de lui faire la piqûre, et ils se retrouvent à Paris. Là, ils descendent sous la Tour Eiffel, là où il y a une cascade. Derrière cette cascade, ils entrent dans une grotte où ils rencontrent l’arrière-arrière petit- fils du Troubadour qui les emmène à côté d’un lac où se trouvent des calamars, dont « le Calamar d’Amour ».
Ils lancent alors leur filet, le calamar attrape l’appât et il est pris au piège. Puis ils lancent une grosse ventouse qui le tire hors de l’eau.
Ils ramènent alors le calamar à la Clinique dans la voiture à remonter le temps. Là, le Docteur Vreli emmène le livre dans le bloc opératoire pour lui injecter l’encre du calamar.
Au bout de trois heures, le livre va mieux, il ne perd plus ses lettres maintenant que le bouchon est enlevé. Le Docteur Vreli lui dit :
«C’est bon, votre livre est guéri, vous pouvez rentrer chez vous ! »
En sortant de la Clinique, Timéo voit Juliette :
« Que fais-tu ici ?
– Mon livre a la même maladie que le tien ! répond- elle toute triste.
– Mais je sais comment le guérir : le calamar d’Amour se trouve dans l’aquarium du laboratoire, vas-y et demande au Docteur Vreli. »
Il l’accompagne.
Puis Timéo sort de la Clinique, monte dans sa Lamborghini, et rentre chez lui. Le lendemain il appelle Juliette et lui demande si son livre va mieux. Oui, il est guéri.
10 ans plus tard Timéo invite Juliette au restaurant et lui demande de l’épouser.
FIN
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Un bal pour finir l’année en beauté !
Nous avons été conviés par la municipalité à venir fêter l’été en musique au Parc de la Baleine ce vendredi 1er juillet.
Ce ne sont pas les quelques gouttes de pluie qui auront raison de notre bonne humeur !
Les musiciens sont entraînants et nous apprennent les pas de danse au son de la guitare, de la contrebasse et de l’accordéon.
Un immense MERCI à la municipalité de Luc-sur-Mer et bonnes vacances !
Découvrez les photos et vidéos ci dessous en cliquant sur « vidéo parc de la baleine » :
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la visite théâtralisée de la station d’épuration
Compte-rendu de la visite par Jules :
Jeudi 12 mai, nous sommes allés à la station d’épuration de Bernières. Nous avons commencé par mettre des casques pour nous protéger la tête. Nous avons ensuite visité la station. Une dame nous a montré pourquoi il fallait préserver l’eau et comment la débarrasser de toutes ses ordures. Il fallait d’abord la faire passer dans des grillages larges pour retenir les plus gros déchets, puis dans des plus petits pour filtrer.
Ensuite nous sommes allés dans une classe où un monsieur nous a apporté plus détails. Il fallait ensuite enlever une couche de boue dans un bassin où on faisait sortir de l’air, et ensuite on mettait des bactéries pour enlever les micro-organismes. Puis nous sommes rentrés à l’école.
et complétée par Sacha :
Nous avons rencontré « Madame l’eau » qui nous a guidés tout au long de la visite. Derrière la station, c’est là que nous avons vu « Monsieur pollueur » et tout à coup, « super bactérie » est arrivé ! il disait : « j’ai faim ! », alors il mangea la bous de « monsieur pollueur ».
A la fin de la visite, on nous a expliqué la filtration de l’eau.
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de nouveaux jeux pour la cour !!!
Merci à l’Apel qui nous a offert de magnifiques jeux pour la récréation !
C’est un grand plaisir pour tous de profiter des tables de ping-pong pour les primaires et des vélos et « skis » pour les maternelles !!!
vidéos (cliquer sur le lien) :
(suivant la configuration de votre ordinateur, il vous faudra peut-être incliner la tête !!!)
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carnaval sous le soleil !!!
Vendredi 1er avril après-midi, les parents sont nombreux à nous accompagner pour le traditionnel carnaval…
Et cette année le soleil est bien au rendez-vous !!!
Merci aux pâtissiers pour les délicieuses crêpes et très bonnes vacances à tous !!!
Si des parents ont des photos du carnaval, ils peuvent les envoyer par mail à Azizah (rubrique contact) pour compléter cet article… Merci !
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CELEBRATION DE PAQUES
Finalement nous n’avons pas pu célébrer Pâques dans le jardin : il était trop humide…
Nous sommes donc allés mardi 29 mars à la chapelle de Luc pour deux célébrations : d’abord une avec les maternelle et CP6CE2, puis une avec les CE1_CM1 et CM2.
Blandine Giovacchini (animatrice pastorale) nous a accueillis et le Père Benoît Sevénier a pu être présent pour les maternelles.
En maternelle, nous avons vu nos « fleurs-message » s’ouvrir au contact de l’eau et avons reparlé de notre branche de Pâques qu’on croyait morte et qui a fleuri, comme Jésus ressuscité !
En primaire les enfants ont évoqué la discussion qu’ils avaient eu en classe avec une maman catéchiste, en redisant ce qu’ils avaient retenu de Pâques.
Nous avons parlé de l’importance de l’eau et de notre action au Bénin.
Le père Benoît qui a vécu au Bénin nous a appris à dire merci en béninois : « Awanou »
Et nous avons chanté :
« Dieu est une fête aujourd’hui,
La fête de la Vie
Oh Alleluia
Dieu est une fête aujourd’hui
C’est lui qui l’a promis
Oh oh oh oh ! »
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